París. La Cité de la Lumière. La Ciudad de la Luz y del glamour, la ciudad del amor y la ensoñación -aunque para esto hay que ir a principios de primavera, cuando los cielos son grises y la fina llovizna, además de empapar sin querer, genera un ambiente dulcemente melancólico y languoureux.
También es París la ciudad de la moda, de la Haute Couture y del prêt-à-porter, y también de les grands magasins; y, entre ellos el que será, junto al londinense Harrod's, el más famoso centro comercial del mundo donde el lujo se da la mano con la moda más chic: Las Galerías Lafayette, escenario del cuento que nuestra querida colaboradora, Beatriz Basenji, ha tenido a bien hacernos llegar. Un cuento que en esta ocasión no nos sumergirá en un ambiente cuasi mágico, sino en la normalidad más paradójica y risueña; también, más desmitificadora: la risa que se ríe del engreimiento y de la afectación; de la gravedad de los adultos ante las vanidades y los prejuicios; ya que es una niña, la que, con candidez, nos da su visión de las cosas, su perspectiva ingenua y certera, desnuda.
Risa natural, risa sin ambages, sin intenciones: solo, risa. Su título: Deleites. Disfrútenlo.
Pero en París también tenemos a Héctor, nuestro querido amigo opositor a poeta y eterno aprendiz de una vida que demasiadas veces le sonríe burlonamente. En esta ocasión hemos elegido un relato que posee -como casi todos los que él escribió- una carga de profundidad más allá de las apariencias. No es difícil hacerla explotar y que su metralla metafísica nos salte a la razón. Esta vez sí, añadiré en el primer comentario la traducción del relato para que aquellos que no compren pan, tengan con qué pringar. Bajo el título original de l'Homme sans Ombre (El hombre sin sombra), espero que hallen un motivo para la sonrisa, pero también para la reflexión.
Gracias a todos los que nos leen y nos visitan.
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DELEITES
40, Boulevard Haussmann ( prés de l'Opèra).
Las señoras se movían deprisa. Los hombres tenían ese aire indiferente que utilizan para dejar bien claro que esto no va más. Y, aunque no resulte creíble, un estimulante aroma de pizzas -ahí, en las Galerías Lafayette- avanzaba por uno de los pasillos, seduciendo los paladares de los más distraídos.
Entonces, Mammi, pronunció una de sus frases inolvidables:
-¡Estamos en el corazón de París!
Tuve un sobresalto a nivel de mi propio minúsculo corazón. ¿No sería Paris como aquella gran muñeca que nuestra maestra del Jardín nos hizo explorar en el centro mismo de una plaza de nuestra ciudad? ¡¿Oh?! ¡Qué ocurrencia! La maestra nos hacía avanzar por el interior de la muñeca, decidida a mostrarnos todo, recalcando a cada nuevo paso, este es el Hígado. Ahí, mas atrás, está uno de los riñones. Vean qué maravilla. Y nosotros, pequeños inocentes, casi a coro: ¡Qué maravilla!. Pero en verdad era horrible. Todos aquellos tubos de intestino y nosotros preguntando: “¿Dónde está la caca?”. Un fraude. ¿Qué le habían hecho a la muñeca? ¿Era posible una muñeca así, gigantesca, con la que nadie podía jugar, abandonada y expuesta peligrosamente en sus intimidades ?
Total, que la tenían despanzurrada, llena de cables y botes de basura para que nadie dejase los desperdicios y los papelitos tirados por sus sendas.
Exactamente ahí me di cuenta que también allí, en “ el corazón de París”, unas señoritas discretas, entre invisibles y automáticas, firmes detrás de sus escobillones, perseguian papelitos abandonados.
Me abracé con los espejos. Les hice todas las caras, caritas y caretas que me había aprendido en otros espejos, hasta que las manos de mi Mammi me sujetaron con fuerza y me llevaron hasta el tocador.
Mas espejos. Mármoles brillantes como espejos. Grifos dorados que nos copiaban a su propio antojo; porque sí.
A poco de entrar me percaté que había otra mamá con otra nena, a la que revisaba cuidadosamente mechones de pelo. Sus dedos se movían con una agilidad digna del mejor pianista De pronto se detuvo. Su brazo pareció perderse en medio del gran antebaño y enseguida se inclinó sobre la blanquísima bacha que se situaba a mi altura. Con esmero pasó la yema de uno de sus dedos, alzó una cosita minúscula imposible de registrar. Y allí mismo, uña contra uña, se percibió algo infinitamente pequeño que estallaba. Entonces, la señora, transfigurada por un deleite superior exclamó:
- ¡Por fin estás muerto, piojo!
Beatriz Basenji
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L'HOMME SANS OMBRE
(El Hombre sin Sombra. Traducción en el primer comentario)
L’homme sans ombre doit-il s’approprier l’ombre des autres pour ne lévèr pas des soupçones. Personne avait permis la présence de quelqu’un sans ombre. Ce n’est pas possible!
L’ombre est plus importante que la carte d’identité, l’ombre est la garantie d’être vif, d’être un homme comme tous les autres. L’un des nôtres.
Dans l’ombre s’accumule, tel qu’un disque dur, tout le passé, toutes les expériences vecues, tout ce que nous avons fait, tout ce que nous avons omis.
L’ombre est la confirmation de notre existence!
L’Homme sans Ombre va découvrir son manque plûtot. À péine il commença à marcher il rendit compte de son malédiction.
Depuis lors, il essayait toujours de se placer à l’ombre de quelqu’un pour passer inaperçu.
Seulement il pouvait être lui-même dans les nuits sans lune, ou bien au midi quand le soleil tombe perpendiculaire.
L’ombre est plus importante que la carte d’identité, l’ombre est la garantie d’être vif, d’être un homme comme tous les autres. L’un des nôtres.
Dans l’ombre s’accumule, tel qu’un disque dur, tout le passé, toutes les expériences vecues, tout ce que nous avons fait, tout ce que nous avons omis.
L’ombre est la confirmation de notre existence!
L’Homme sans Ombre va découvrir son manque plûtot. À péine il commença à marcher il rendit compte de son malédiction.
Depuis lors, il essayait toujours de se placer à l’ombre de quelqu’un pour passer inaperçu.
Seulement il pouvait être lui-même dans les nuits sans lune, ou bien au midi quand le soleil tombe perpendiculaire.
Il fuyait la lumière des foyers, des lanternes et des lampadaires quand il ne pouvait pas se refuger dans l’ombre des autres.
Miraculeusement il arriva à l’âge adulte sans être découvert.
Il va adquérir une véritable maestria pour se mouvoir sautant d’ombre en ombre; même, il choissait, si c’était possible, l’ombre selon son propriétaire; ce qui est une stupidité, par ailleurs, du moment que les ombres ne réflichent pas les yeux bleus, ni les cheveux blondes, ni la beauté de ses porteurs, mais il aimait la diversité des silhouettes.
Avec le temps il se rendit compte qu’il assimilait aussi la personalité du maître de l’ombre de lequelle il s’appropriait. C’était pure mimétisme et seulement arrivait pendant le prêt, ce qu’il y avait quelque chose de paranoïque.
....
Il était encore un jeune homme naïf et peu ambitieux mais il avait très envie de vivre. Il arriva à Paris laissant derrière lui la ville de provinces que jamais auparavant il n’avait abandonné.
Il se sentait specialement attiré par le spectacle des ombres chinois.
Les ombres chinois -quel expression si évocatrice!- n’avaient pas de sécrets pour l’Homme sans Ombre puisque il y était capable de reproduire le profil psicologique de ceux à qui appartenaient. Donc, quand il demanda du travail pour gagner sa vie dans une petite compagnie de thèâtre chinois il fut engagé aussitôt par le directeur -un vieux chinois de peau parcheminée et d’âge indéfinissable dont la visage semblait les glacés chaînes montagneuses d’Alaska à vol d’oiseau- après de montrer sa prodigieuse habilité pour donner vie prope aux ombres.
Le Théâtre des Ombres –tel était le nom de cette compagnie itinérant- allait commencer une tournée autour de l’Europe. La première destination était Londres.
La chance de L’Homme sans Ombre était sur le point de changer...
Miraculeusement il arriva à l’âge adulte sans être découvert.
Il va adquérir une véritable maestria pour se mouvoir sautant d’ombre en ombre; même, il choissait, si c’était possible, l’ombre selon son propriétaire; ce qui est une stupidité, par ailleurs, du moment que les ombres ne réflichent pas les yeux bleus, ni les cheveux blondes, ni la beauté de ses porteurs, mais il aimait la diversité des silhouettes.
Avec le temps il se rendit compte qu’il assimilait aussi la personalité du maître de l’ombre de lequelle il s’appropriait. C’était pure mimétisme et seulement arrivait pendant le prêt, ce qu’il y avait quelque chose de paranoïque.
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Il était encore un jeune homme naïf et peu ambitieux mais il avait très envie de vivre. Il arriva à Paris laissant derrière lui la ville de provinces que jamais auparavant il n’avait abandonné.
Il se sentait specialement attiré par le spectacle des ombres chinois.
Les ombres chinois -quel expression si évocatrice!- n’avaient pas de sécrets pour l’Homme sans Ombre puisque il y était capable de reproduire le profil psicologique de ceux à qui appartenaient. Donc, quand il demanda du travail pour gagner sa vie dans une petite compagnie de thèâtre chinois il fut engagé aussitôt par le directeur -un vieux chinois de peau parcheminée et d’âge indéfinissable dont la visage semblait les glacés chaînes montagneuses d’Alaska à vol d’oiseau- après de montrer sa prodigieuse habilité pour donner vie prope aux ombres.
Le Théâtre des Ombres –tel était le nom de cette compagnie itinérant- allait commencer une tournée autour de l’Europe. La première destination était Londres.
La chance de L’Homme sans Ombre était sur le point de changer...
(a suivre)
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Puso la Música
Edith Piaf
(e Ives Montand à Sous le ciel de Paris)
Sous le Ciel de Paris
La Vie en Rose
Mi Lord
La Foule
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Links de interés
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